LE
BILLET D’AVION ET L’HOMME D’AFFAIRES

La
simplification des formalités d’embarquement |
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Les
nouvelles technologies de l’information permettent aujourd’hui
de simplifier toutes les formalités et sont ainsi présentes à
toutes les étapes du voyage, en commençant par l’achat du
billet d’avion. Souplesse d’achat du billet et flexibilité
de l’enregistrement. Plus rapide et loin des contraintes. |
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Le Minitel, avec lequel le voyageur pouvait déjà
réserver et acheter ses billets d’avion, c’est aujourd’hui
Internet qui prend le relais. Autre emploi remarquable de la
technologie internationale : le fait de voyager désormais sans
billet. En recevant un code d’accès, le passager peut retirer
sa carte d’accès à bord à un automate ou encore n’avoir
aucun document mais simplement un numéro de confirmation et une
pièce d’identité. Une solution qu’ont adopté, par
exemple, Southwest Airlines aux Etats-Unis et autres compagnies. |
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L’homme d’affaires sans bagages est devenu une pratique
courante sur la plupart des compagnies européennes. |
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Un siège personnalisé. La généralisation de bornes
automatiques d’enregistrement accélère les
formalités. Muni d’un billet à piste magnétique (ATB), l’homme
d’affaires sélectionne son siège et peut obtenir sa carte d’embarquement,
y compris celle du vol de retour, s’il est effectué dans la
même journée. Sur les bornes automatiques de la compagnie
Lufthansa, s’affiche le plan de cabine dans son intégralité
avec les sièges encore vacants que l’on peut alors choisir.
La compagnie SAS offre dans son terminal de Copenhague la
possibilité d’enregistrer même ses bagages à une borne. Une
fois le ticket bagages imprimé, il suffit de donner sa valise
à un agent. |
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Christian RITZ |
Cadre technico-commercial
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